====== semis ====== URL : https://www.youtube.com/watch?v=m7AUonBj788 - semis en caissette ou semis différées - semis en pleine terre qu’on peut faire dès maintenant (en fait pas dans la vidéo) ===== semis en caissette ou semis différées ===== * du terreau de base, non enrichi, sans engrais ni rien * de l’eau * une barquette étanche, 7-8 centimètre de haut mini, 8 à 12 c’est bien. * un truc pour tapoter (un pavé droit pour tasser le terreau) L’intérêt du terreau qu’on achète c’est que c’est garanti sans champignon (passage en autoclave, cuit à la vapeur) qui pourrait attaquer la pousse/graine. Si on fait son terreau ajouter un tiers de tourbe pour acidifier et éviter développement de champignons. Pour les semis, éviter les terreaux enrichis (engrais, copeau), moins ça marche. Préférer un terreau peu riche. La graine contient ce qu’il faut. Pas besoin d’ajouter d’engrais, c’est plus nocif que bénéfique pour les semis. Si on se retrouve avec du terreau avec des morceaux, branche, charbons, autre, on peut tamiser. * on prend le terreau, non mouillé, tel quel, et on remplit le bac jusqu’à ras bord (sinon les bords vont faire ombre et la plante va ‘filer’ -?-) * arroser (bien, le terreau peut prendre 5 fois à 6 fois son poids en haut, noter que le terreau est déjà humide quand on l’achète, on ne met pas 6 fois plus d’eau que de terreau) * attendre un petit peu que l’eau soit absorbée * on continue à mouiller jusque ça soit gorgé d’eau * on rajoute du terreau car il s’affaisse avec l’eau, pour rester à ras bord. * quand on a terreau à ras bord et terre bien gorgée d’eau * on met nos graine à la surface * on les recouvre avec du terreau sec * on prend le tapoter et on tapote pour tasser le terreau sec (il s’agit que la graine soit suffisamment en contact avec le terreau Et là c’est près, on ne touche plus pendant 1 mois et demi (ou pour rempoter si c’est bon, mais on arrose plus après ça, il y a assez d’humidité et mettre de l’eau deux degré au-dessus ou dessous de la température ambiante peut faire foirer le processus). * quand on a trois vrai feuille (pas le cotylédon, trois feuilles, une a droite, une a gauche, une au dessus), on peut repiquer. Avant ça rappelle pas besoin d’arroser ! * on enlève avec un couteau, et on peut mettre en pot s’il est trop tôt pour mettre en terre pour éviter que ‘ça file’. Normalement on part d’un terreau pauvre et on met en terre riche, ce qui va faire partir la plante. Si à l’opposé on part d’un terreau riche vers une terre moins riche, on va avoir un dépression de la plante. On peut aussi faire avec des godets, mis dans un bac ! On fait un peu pareil mais on met l’eau dans le bac, elle va monter par capillarité, et on mouille pas aussi fort. L’avantage serait que si on s’est planté sur l’eau, on peut plus facilement en enlever/remettre. Mettre l’eau à température ambiante comme possible, l’eau va monter par en-dessous, et prendre la température ambiante durant ce process. De cette manière, c’est la plante qui va pomper l’eau dont elle a besoin, on surveille le fond du bac et on accompagne le besoin de la plante (donc pas comme l’autre méthode ou on ajoute plus d’eau une fois lancé). Préférable de préparer ça un jour avant de faire les semis. Deuxième système plus sûr (moins error-prone ?), les deux ont leur avantage (le premier ben rien à faire une fois lancé. L’apport en eau dépend de la plante, il y a des plantes de sécheresse (aromates du sud, thym, sarriette), et des plantes plus demandeuses. Avec le second système, on peut plus facilement adapter l’apport en eau en surveillant.